Journal mai 2019

Numéro 16 – Mai 2019

AGENDA:

  • Réunion mensuelle jeudi 6 juin à partir de 20h30 salle des 4 saisons.
  • Festi Baleti le Samedi 25 mai, bâtiment des 4 saisons à Saint Vallier de Thiey à partir de 18h. Participation libre, buvette  et  repas  tiré  du  sac. Le Baleti sera animé par Meyli Meylo

 

SOMMAIRE  n°16 – Avril 2019

p.2: Edito suite et le Festi en photos

p.3: Poésies de P. Derckel et J. Bernard

p.4 et 5:  «Némopilema Nomurai» par Franck Tabourel—Les climatosceptiques bougent encore! Par P. Marques

p.6 et 7: La biodiversité en question par P. Marques

p.8:  On se détend : Mots croisés ——


aller p.1 mai 2019


Edito:

2 m et près de 220 kg! Voilà les mensurations plutôt généreuses d’une méduse dont le petit nom est Nemopilema Nomurai, et qui vit dans le Pacifique, près des côtes japonaises plus précisément. Franck vous invite avec elle, pour un voyage dans le cycle de la vie et qui passe par une phase déchet plastique! Je n’en dis pas plus.

Ce monde des méduses est fascinant par la diversité de ses habitants: des petites méduses urticantes que l’on trouve le long de nos plages provoquant cris de douleur et jurons bien sentis chez les baigneurs à la peau écarlate, aux méduses des grandes profondeurs en passant par celle qui semble avoir les clés de l’ immortalité (Turritopsis Nutricula)!

Tout à fait autre chose avec le Festi Baleti 2019 qui aura lieu le samedi 25 mai à partir de 18h30 avec nos amis de l’association Meyli Meylo et les élèves du conservatoire pour la partie musicale. Souvenir, souvenirs page 2.

On s’intéresse à la biodiversité page 6 et 7, un sujet dont on ne parlait quasiment pas et qui vient récemment de se rappeler à notre bon souvenir, grâce à plusieurs scientifiques de l’IPBES (le GIEC de la biodiversité), qui dressent un tableau extrêmement sombre de la situation présente et, si l’on ne modifie pas nos comportements rapidement, de la situation future; l’occasion peut-être de voir comment se porte la biodiversité dans notre région en page 6.

Pour rester un peu dans ces questions, un aparté sur le climatoscepticisme qui bouge encore! Suite à l’émission de P. Praud sur C8, il semble nécessaire de se remettre en tête quelques faits indiscutables (même les Etats-Unis et l’Arabie Saoudite pourtant pas les plus fervents partisans de la lutte contre le réchauffement climatique ont apposé leurs signatures au bas du 5ème rapport du GIEC) et notions de base sur ce dont on parle: différence entre météo et étude du climat en particulier, puisqu’à l’évidence, l’unique argument, ou peu s’en faut, de l’animateur (difficile d’employer le mot de journaliste!) pour mettre en doute la réalité du réchauffement climatique était le niveau négatif de températures à tel et tel endroit de France en ce mois de mai. Page 7 donc.

Terminons cet édito par une invitation à la rêverie « saisonnière » grâce à un poème de notre ami Philippe Derckel en page 3, et une suggestion de visite aux Carrières de Lumière pour là aussi une balade poétique bien que numérique, dans l’œuvre immense et magnifique et sombre et lumineuse de Vincent Van Gogh (c’est mon avis et je le partage!)


Festi Baleti: rendez-vous le 25 mai 

Déjà la 4ème édition du Festi Baleti que nous organisons tous les ans à St Vallier de Thiey! Un point commun entre les trois dernières éditions: fête et convivialité. Je vous l’accorde, ça fait deux points communs!

Cette année, c’est à nouveau Meyli Meylo qui assurera l’animation musicale, l’organisation générale étant assurée par AVEC.  Vous êtes tous bien sûr, les bienvenus.

Petit tour en photos des trois dernières éditions.


aller p.2 et 3 mai 2019


Grand Pré, ô saisons !                                  par   P.hilippe Derckel

Printemps

aux arbres  s’inondant de bourgeons,

splendeur des rêves , promesses en devenir,

abreuvées du ronron des tontes nécessaires,

à l’heure d’un soleil de nouveauté.

Été

aux bogues  témoignant d’une éclosion si proche,

tonitruantes exclamations de  vie sans ombres

quand l’herbe se jaunit aux pinceaux de lumière,

nocturnes enivrantes en écho de fragiles symphonies.

Automne

aux espaces embaumés d’un reflux tout proche,

toboggan  de douces ondées aux impatientes harmonies,

pelouse écornée d’anciennes ardeurs dépassées,

maintenant dans l’attente des heures dociles.

Hiver

aux calmes et silences sans excès, teintés de morsures légères,

invitation discrète à une palette de grisailles adoucies,

sous l’oblique des rayons d’un soleil assoupi,

encore à l’écoute des pétales d’une cloche en sourdine.


Si l’on sortait?   Oui, mais où?!                       

      

«Van Gogh: la nuit étoilée» aux  Carrières de lumières près des Baux-de-Provence.

Voilà une destination que je vous conseille, sauf vraiment si vous détestez les gens qui se coupent  l’oreille droite ! La peinture de Vincent Van Gogh est magnifiquement mise en scène et en valeur dans cet imposant temple de calcaire. Les projections numériques de ses tableaux sur les murs, les piliers massifs ainsi qu’au plafond et au sol sont très immersives et on a l’impression quelquefois de se balader à l’intérieur même de ses peintures.

Si j’osais, je ferai bien une suggestion aux organisateurs: installer des transats un peu partout !

Suis une autre expo intitulée «Japon rêvé, images du monde flottant», promenade au pays des estampes, des geishas et de la grande vague d’Hokusai.

Ouvert jusqu’au 5 janvier 2020


   Nemopilema nomurai                      par Franck  Tabourel

Je me nomme Nemopilema nomurai, du moins c’est ainsi qu’on m’appellera un jour, dans très longtemps. Je fais partie de la famille des méduses mais comme je ne me meus que verticalement, je fais partie du plancton, plus précisément du zooplancton.

Quand même, c’est scandaleux, moi qui mesure plus de deux mètres d’envergure, me qualifier de plancton, je trouve cela… inqualifiable.

OK, on n’est pas là pour polémiquer, il est loin le temps où je voguais à la dérive entre les océans Téthys et Panthalassa, m’approchant parfois des jolies plages de la Pangée, au gré des courants… le bon temps !

Depuis, comme tout le monde, j’ai mouru, alors j’ai fait partie du petit pourcentage de matière organique disséminée parmi les sédiments qui composent les fonds marins. Dès lors, des siècles et des siècles s’amassèrent au dessus de moi, et c’est là que j’ai commencé à sentir la pression : petit à petit, mes descendants se sont amoncelés sur moi.

Après quelques millions d’années, il y en avait un kilomètre au dessus de ma tête, et je ne vous dis pas la température… et puis si, je vous le dis, soixante degrés, ça commence à faire… Et la pression… deux cent cinquante bars ! Voilà que j’étais devenue du kérogène et, sans jeu de mots, je peux vous dire qu’il n’y avait pas de plaisir.

Du kérogène, ce n’est pas encore du pétrole, mais c’est en bonne voie de le devenir.

Encore quelques millions d’années, me voilà enfouie à trois mille mètres sous terre et, cette fois, je suis transformée en pétrole, mais je ne suis pas une pétroleuse pour autant, j’ai toujours gardé ma dignité ! Je n’étais pas non plus la reine du pétrole mais, tout de même, j’étais tranquille, en bonne compagnie, rien à dire, rien à faire, jusqu’au jour où je me suis sentie aspirée dans des tuyauteries dignes d’une usine à gaz.

Alors, on m’a raffinée. Je vous passe les détails, je vous dirai seulement qu’on m’a transformé en naphta, on m’a chauffée, on m’a refroidie, on m’a polymérisée, je suis devenue du polyéthylène téréphtalate, autrement dit, vulgairement, un PET.

On m’a transformée en une bouteille et on m’a remplie d’eau. Il y a des millions d’années, je nageais dans l’eau et, maintenant, l’eau nage en moi. Drôle de cycle de l’eau…

J’ai quitté l’usine d’embouteillage dans un camion, déposée dans le rayonnage d’un magasin, achetée par une maman pour sa petite fille qui a bu mon eau et m’a jetée sur un trottoir– oui, j’ai même fait le trottoir -, un vent m’a projetée sur la chaussée, le camion qui m’avait transportée m’a écrasée –je l’ai reconnu-, et j’ai fini dans le caniveau, dans les égouts, dans une rivière, dans un fleuve, dans l’océan.

Retour aux sources, pèlerinage, comment voulez-vous appeler cela ?

Longtemps, j’ai navigué, j’ai dérivé jusqu’au vortex du Pacifique sud, un de ces continents de déchets de plastique… un déchet, j’aurai tout connu, j’ai fini par être dévorée par un requin qui s’en est étouffé, m’aurait-il prise pour une méduse ? Là, c’est trop drôle. De fait, sa mort m’a libérée. Alors, j’ai erré, je me suis désintégrée et me voilà de nouveau mêlée au plancton, en route pour un nouveau cycle ? Rien que d’y penser, je suis médusée !

Au fait, plancton, ça vient du grec « plagktos », qui signifie « errant ».

 

PS: Ce texte est tiré d’un recueil de nouvelles écrites par Franck et intitulé «Vous aurez de mes nouvelles» aux éditions «paroles et par chemins»


Les climatosceptiques bougent encore!              par  P.  Marques

Lors d’une émission sur C8 présentée par P. Praud, celui-ci assez fier de sa trouvaille, se posait la question du réchauffement climatique en relevant le fait qu’il y avait eu des températures négatives début mai à Troyes ou dans les Yvelines. Serait-ce le début d’un refroidissement général se demande t-il? De mon côté, j’ai d’autres températures à lui proposer: le 27 février, la température moyenne en France atteignait 21,3°C et il faisait par exemple 21,7°C à Charleville-Mézières, station balnéaire bien connue! Donc si on suit son raisonnement, en février, pas de doute, il y a bien un réchauffement mais en mai, paf! c’est un refroidissement.

Plus sérieusement, il faut répéter que l’évolution du climat, ça ne s’observe pas au ras des pâquerettes; il faut prendre un peu de hauteur, l’observer sur une période de plusieurs années ou plus selon ce que l’on veut mettre en évidence, faire des moyennes pour obtenir une tendance de moyen ou long terme. Prendre un épisode froid par-ci, par-là, l’hiver 54 ou 62 par exemple, ne démonte pas le fait que la température moyenne en France a augmenté régulièrement depuis le début de l’ère industrielle fin XIX°. Concernant ses doutes sur la responsabilité des activités humaines, franchement, qui peut raisonnablement croire encore aujourd’hui qu’expédier chaque jour des millions de tonnes de CO2, Nox, Méthane etc dans l’atmosphère et cela depuis des décennies et des décennies n’aurait aucune conséquence sur les paramètres qui régissent le climat?

Que ces thèses aient un écho médiatique est bien triste car pendant qu’on s’échine à démontrer la vacuité de ces propos, on n’agit pas pour sauver  ce qui peut l’être encore.


aller p.4 et 5 mai 2019


Où en est la biodiversité en Provence ?               par P. Marques

Depuis les années 60 et 70, les scientifiques nous alertent sur la perte de biodiversité observée partout dans le monde sans pour cela que les décideurs (et nous-même souvent, il faut bien le reconnaître) aient engagé les politiques à même de la limiter. Il faut dire que le train de la croissance et le tgv de la mondialisation étaient alors en pleine accélération. Les avertissements de quelques emm… écologistes ne pesaient pas bien lourd et par la suite, le problème du réchauffement climatique prit le devant de la scène! Mais voici que début mai, cette question est revenue sur le tapis à la faveur de la sortie d’un rapport de l’IPBES (plate forme inter-gouvernementale sur la biodiversité et les systèmes écosystémiques), l’équivalent, pour la biodiversité, du GIEC (groupe d’experts inter-gouvernemental sur l’évolution du climat).

Dans ce rapport qui dresse un portrait extrêmement sombre de la situation mais qui appelle aussi à l’action, deux points à retenir: – La perte de biodiversité est globale, à l’échelle de la planète entière, concerne aussi bien les végétaux que les animaux ou les terres et elle se déroule à une vitesse jamais vue dans l’histoire humaine. Sur les «cinq facteurs de changement qui affectent la nature» identifiés par les scientifiques, même si c’est à des degrés divers, les activités humaines y sont à la source dans la quasi totalité des cas: changements d’usage des terres et de la mer, exploitation directe de certains organismes, changement climatique, pollution et espèces exotiques envahissantes.

En France, la biodiversité est très riche mais, la faune sauvage en particulier, menacée: un quart des espèces évaluées dans l’étude de l’Observatoire National de la Biodiversité (ONB) présentent un risque de disparition. La France est ainsi parmi les dix pays comptant le plus d’espèces menacées. Les causes, on les connaît: artificialisation des sols et agriculture intensive entre autres, ont entraîné la disparition de leurs habitats naturels ou les ont fragmenté. Egalement, l’augmentation ces dernières années de l’usage des produits phytosanitaires qui a conduit entre autres conséquences à l’effondrement de la population des insectes, en totale contradiction avec tous les grands discours tenus par les politiques (mais pas seulement!) et avec tous les différents plans mis en place (écophyto, écophyto 2, écophyto 2+!!!).

Quid de notre région? PACA c’est d’abord une extraordinaire diversité de paysages: alpin, côtier, milieu marin, forestier, cultivé ou urbanisé…, de climats et d’espèces végétales et animales: par exemple, 2/3 des espèces végétales françaises y sont présentes, endémiques pour une grande part, ou 1/3 des espèces d’insectes.

Globalement, la biodiversité est sous pression avec des disparités très importantes entre les espèces (animales et végétales) et en fonction des milieux auxquels on s’intéresse. On observe par exemple que les espèces protégées, à fortiori dans les zones type parc national (4 des 10 parcs français sont en PACA), réserve marine etc, voient leur population se stabiliser ou augmenter pour certaines d’entre elles: le mérou brun, après des décennies de baisse voit ses effectifs remonter suite à son inscription en 1993 dans la liste des espèces protégées et à la présence de ces réserves marines. Précisons que leur taille moyenne est plus faible qu’auparavant, les gros mérous ayant été victimes de prélèvements très importants. Il est aussi intéressant de noter qu’il se situe vers le haut de la chaîne alimentaire, l’augmentation de sa population indiquant que les proies sont assez abondantes et donc, que le milieu dans lequel il évolue est plutôt de bonne qualité. Cela montre qu’une plus grande protection du milieu marin couplée à une réduction des nuisances des grandes métropoles côtières (pollution, rejets industriels etc) permettrait sans aucun doute d’améliorer la situation de la biodiversité marine. Pour revenir au cas du mérou, le souci c’est que, autant la baisse de sa population a été rapide et continue à partir des années 50, autant le chemin inverse s’effectue à un rythme lent. Ce poisson emblématique du «Monde du silence» reste d’ailleurs classé dans la liste des espèces en danger.

Les zones de montagne envoient des signaux très différents selon que l’on se trouve dans un des deux parcs nationaux: les Ecrins et le Mercantour ou dans le reste des massifs. Si la protection offerte par les parcs a permis ici de maintenir une faune et une flore en plutôt bon état, dans les zones où le développement des stations de ski (la France possède le plus grand domaine skiable du monde) et d’un tourisme souvent débridé s’est exprimé, la situation est bien sûr moins réjouissante: artificialisation des sols, construction de routes… Au secours fuyons! La situation dans les zones agricoles est elle particulièrement difficile pour toute les espèces, insectes, oiseaux ou petits mammifères ainsi que pour les plantes avec une diversité qui s’est fortement réduite.

Au final, les études montrent que les espèces animales les plus exposées sont celles qui ne sont pas protégées, celles autrefois communes et que l’on retrouve dans nos jardins, friches ou zones agricoles. Leur déclin en terme d’effectifs est même jugé inquiétant, tant en ce qui concerne les oiseaux, oiseaux nicheurs en particulier, les amphibiens ou les serpents. Sans parler bien sûr des insectes.

Des solutions existent à tous les niveaux pour réduire notre impact: individuellement, ne pas utiliser d’herbicides dans son jardin et dans tous les cas, réduire notre empreinte écologique (éviter la moto pétaradante ou le 4×4 en pleine nature!). Au niveau des collectivités (quelque part, ça dépend de nous aussi), éteindre les lumières au-delà de minuit par exemple: combien de personnes se baladent dans St Vallier passé cette heure là? Ne pas utiliser de pesticides également. Ce sont des mesures faciles à mettre en place, moyennant peut-être un peu de pédagogie. Cela ne suffira pas: changer nos pratiques, agricoles, de prédation des terres etc sont bien sûr indispensables. Nommer une zone complètement bétonnée «écovallée», c’est tout sauf la solution.


aller p.6 et 7 mai 2019


1/ Cette fille du capitalisme est la mère de bien des maux: délocalisations, gâchis environnemental… 2/ Valeur refuge—Quand elle est bouchée, ça ne veut pas dire qu’elle ne comprend rien à rien 3/ On est pas obligé de mourir pour y accéder—Rapproche quand la vue l’est 4/ Attirèrent en usant de leurs charmes—(sigle) Cherche à s’imposer dans le jeu de Pac Man de la gauche 5/ Unité de mesure chinoise—Lui a déjà connu une montée des eaux—Indispensables à la démocratie, ils sont devenus à tort ou à raison, l’objet de quolibets 6/ L’avoir d’entrée de jeu—C’est bibi—(sigle) Son ex patronne adorait un peu trop les balades en taxi 7/ Va direct au Paradis—(sigle) Le N°20 est sans doute le plus dur physiquement—Des cons ou de France, me faîtes pas dire des deux! 8/ Jarreau de son nom—Quand rien ne va—Retombe toujours sur ses pattes à l’instar des Balkany (ça ne devrait pas durer!) 9/ Avoir—En haut de l’affiche pour les premiers—Change d’aspect 10/ Aidez, soutenez, épaulez… – Comme un renard 11/ Obama cherchait à se rapprocher de ce continent, Trump à l’affronter—Perroquet—A condition que 12/ Sorte de choppe—La sécheresse rend ce genre de lieu très rare 13/ Quand une lampe fonctionne pour rien, fais le! – Véhicules en voie d’extinction A/ Est-on sûr qu’elle sourit?! – C’est un être qui a bien de la chance B/ Qu’elles le soient ne garantit pas leur pertinence—La clé pour accéder à la musique C/ Petit cours d’eau—Conjonction—Coutume ou habitude D/ Trouvent la solution—(sigle) Toutes les entreprises sont égales devant lui, certaines étant plus égales que d’autre! E/ (sigle) Organise les 24H du Mans—Exercée sur le bras, rend docile tout manifestant F/ But (raté) de l’opération Market-Garden—Sculptures à portée symbolique G/ Pseudonyme utilisé par George W. Russell, poète et militant nationaliste irlandais—Un bureau, pas très bien fréquenté en ce moment H/ Dans le coup—(sigle) Difficile de vivre avec—Ca roule quand il ‘y en a pas I/ Quand une note l’est on ne l’entend pas—(sigle) Plus il y en a dans l’atmosphère, moins on aura de chance de s’en sortir—Trait de lumière J/ Ses fins de mois, Balkany aimait bien le faire—Pasteur lui fit un sort K/ Marcha sur la lune, trouva un trésor, lutta contre les japonais… – (sigle) Dispositif de protection santé—Einsteinium L/ Groupe bancaire hollandais—Ville du Danemark dans laquelle on signa une convention à visée environnementale—Pronom personnel M/ Pour l’omelette—Poétesse et romancière américaine N/ (sigle) futur ex Califat—On se magne—Tourne autour de nous.

mots croisés 16


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