JOURNAL N° 17 SEPTEMBRE 2019

SOMMAIRE:

p.1: Edito

p.2: Edito suite—Le crocodile C. Launay

p.3: Les nouveaux artistes par F. Tabourel

p.4 et 5: Jeux de mots par F. Tabourel et le mendiant par P. Derckel

p.6 et 7: Give me five par F. Tabourel et Le poète par J. Bernard

p.8: On se détend : Mots croisés (spécial noms propres)——

 

AGENDA: 

  • Réunion mensuelle jeudi 3 octobre et 7 novembre à partir de 20h30 salle des 4 saisons.
  • Forum des associations samedi 7 septembre avec la Gratiféria organisée par AVEC
  • Fête des enfants: 28 septembre dans le grand pré. Fabrication de nichoirs, mangeoires et un hôtel à insectes par des membres de l’association

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EDITO: 

Dans ce journal de rentrée, de la poésie, de la poésie et encore de la poésie! Nos amis Philippe Derckel et Jérôme Bernard nous proposent deux textes magnifiques: «le mendiant» pour l’un, «le poète» pour l’autre, pleins de ce qu’il manque à ce monde prêt pour l’équarrissage: un peu d’humanité.

Christian Launay se tourne lui vers Odile et le crocodile; ce pourrait être une fable mais c’est ce que Christian appelle un mousqueton, un petit texte marrant et plutôt mordant.

Franck Tabourel s’intéresse de son côté aux personnes qui ne font que la moitié du chemin, des « artistes » qui emballent et déposent un peu partout les œuvres de leurs toutous préférés ainsi qu’à ceux, dans un deuxième texte, qui laissent tourner pour rien le moteur de leurs autos préférées. Dans une dernière contribution, il nous encourage à se risquer dans l’art du jeu de mot, sans avoir peur du ridicule. Il ne tue pas dit-on même si on souhaiterait pour certains que… Mais, ne tombons pas dans ces pans c’est sombre (attention jeu de mots valant peine capitale!).

Petite nouveauté, avec le «lancement» d’un texte à épisodes, «les avatars de Balthazar» écrit par Christian: première partie dans le présent journal, seconde partie dans celui qui sortira en fin d’année. Je sais: le suspense va être insoutenable mais nous ne faisons qu’appliquer là des méthodes marketing éprouvées pour fidéliser une clientèle un peu trop volatile et  versatile!

Signalons  que le samedi 7 septembre, à l’Espace du Thiey, AVEC profitera du forum des associations pour échanger autour du zéro déchet: c’est en effet un sujet qui était, est et sera d’actualité. La place étant comptée et le temps également lors de cette matinée, nous ne ferons que l’évoquer mais nous devrions dans un délai que nous espérons le plus court, organiser une manifestation autour de ce thème et de celui du recyclage. Une gratiféria organisée par notre association se tiendra également durant cette matinée.

Un dernier mot  concernant la fête des enfants à laquelle nous participerons également le samedi 28 septembre; durant cette journée, nous leur proposerons de fabriquer des nichoirs et autres mangeoires ainsi qu’un hôtel à insectes. Des fiches pédagogiques seront également à leur disposition. On le sait, la biodiversité sur notre planète (sur (et dans) la terre ainsi que sous la mer) se porte mal, et la France ne fait pas exception à ce constat. Les raisons sont multiples: produits chimiques, supêche, perte des habitats, microparticules de plastique, etc. et la sensibilisation des enfants et de leur parents à ces problématiques fait partie des actions utiles à mener. On est d’accord: ça ne suffit pas! L’idée étant qu’on s’approprie d’autant mieux un problème, qu’on le comprend et peut-être agit-on plus fortement par la suite.

Pour les enfants, ça peut être simplement de poser des questions à leurs parents: «Maman, papa (ou «Maman, maman», ou «Papa, papa» ou… je vous laisse libre choix: je ne suis pas sectaire!), comment elles ont été cultivées ces tomates et d’où elles viennent? On est en plein hiver je vous signale!» Mais c’est aussi pour ceux en âge de mettre un bulletin dans l’urne, voter pour des personnes qui se sont déjà engagées sur ces problématiques écologiques, qui ont des projets sérieux pour y répondre. Je vous le concède, ça n’est pas toujours simple de faire le tri entre un candidat qui veut réellement changer de braquet et un autre qui s’habille d’un vert qui déteint au 1er lavage! Il peut même arriver que l’on ne trouve pas chaussure à son pied. Dans ce cas, reste quand même l’action individuelle et/ou en association, dans la rue ou ailleurs! Eventuellement même, pourquoi pas, monter une liste  pour défendre un projet, des idées!?

Bonne lecture à toutes  et à tous


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Dans son idylle, Le Crocodile, croque Odile.                                                           Au croque-monsieur,

Le Crocodile, l’alligator, caïman tous pareils :                                                        le Crocodile, préfère

ils donnent la mort sûre.                                                                                              le croque-madame.

Le Crocodile, actionnaire chez   Vuitton,

l’affaire est dans le sac.                                                                                                   Christian LAUNAY


« Le poète » par Jérôme BERNARD

Au delà des mots et des tournures de phrases
A l’intérieur des métaphores et autres emphases
La poésie est au poète son gouffre, sa descente en abîme
Son cri et son saut dans le vide.
C’est aussi sa porte de sortie, son échappatoire
Son kit de survie, son exutoire
Sa libération éjaculatoire
Enfin, son shoot apaisant et son médicament.
Le poète écrit avec son sang,
Les couplets s’écrivent au rythme des pulsations cardiaques
Et s’écoulent en cadence de ses veines.
Oui, au delà du petit effet et du verbe beau
Transparaît la réalité sublimé du poète
A effet placebo.
La poésie, une exhibitionniste emprunt d’une grande timidité
elle s’habille d’un costume précieux mais expose sa profonde intimité.
L’auteur se met à nu,
Il écrit avec ses tripes, sa bile sa salive et ses larmes
Et dans un élan d’impudeur
Il dévoile son cœur


« Give me five » par Franck TABOUREL

Donnez-moi cinq bonnes raisons de couper votre moteur dès que vous vous arrêtez plus de trente secondes :
1° : ne pas couper son moteur, ça pollue ;
2° : ça sent mauvais ;
3° : c’est de la consommation de carburant inutile ;
4° : c’est une dépense inutile ;
5° : cela peut couter 135 Euros d’amende d’après un arrêté de 1963 qui est de plus en plus souvent mis en application.


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« Jeux de mots » par Franck TABOUREL

Cherchez les mots, vous les trouverez, tôt ou tard, ils vous trouveront, les mots tôt, les mots tard, les mots tus par la bouche cousue, moribonds, mortels, les mots rue, les mots tels qu’ils sortent des motels, les mots globine, les mots tifs, l’émotion de censure, les mots mis, les mots en bique, faites la liaison, les mots bilette, les mots ti conne, les Moïse, les Mohamed, les Maurice en colonne, les moniteurs, les monos polis, les mots l’os, les mots des rations, les mots d’est, les mots elle et pinière, les mots no logue, les mots no tonne, les mots no qui nient, les mots nuement, les mots cris, les mots quête, les mots râle, les mots de passe pour les péripatéticiens, les mots croisés pour les templiers, les mot à mot, les mots couverts, les mots teurs, les mots tordus, les mots dits, les mots viette, les mots V, les mots Sade, les mots d’aime.
Cherchez les mots, n’hésitez pas, n’en ayez pas peur, jouez avec, jouez-en, jouez-vous du ridicule, le ridicule ne tue pas, un mot tue, un mot peut tuer, Victor Hugo l’a magnifiquement démontré dans un poème justement intitulé « le mot ». Méfiez-vous des mots, apprivoisez-les plutôt, faites-vous en des amis.

Osez, n’hésitez pas, balancez un jeu de mot, aussi nul soit-il, dans le milieu d’une conversation, probablement passerez-vous pour une andouille, peut-être quelques-uns vous en voudront d’interrompre leur conversation pour caser votre mot, ce n’est pas grave, et si on vous dit qu’il est nul, répondez que c’est en en osant de mauvais qu’on finit par trouver de bons mots, alors que si vous n’osez pas, qui sait combien d’excellents jeux de mots vous seront restés en travers de la gorge ?

Cette manière de faire, d’oser, permet à celui qui n’ose pas prendre la parole parmi des beaux parleurs, parmi des gros parleurs, d’exister par petites piques et, dans bien des cas, d’être reconnu, voire attendu. Sans compter que le jeu de mots est contagieux : tel qui, au début, sera irrité par vos jeux de mots, finira par y prendre goût, et même rivaliser avec vous. Apprivoisez les mots, vous deviendrez poète ! « C’est facile », me direz-vous, « de faire des jeux de mots avec le mot mot, moi-même, je pourrais en faire autant ! ».

Je vous répondrai : « C’est vrai, et je vous y encourage.».

En fait, à mon cousin qui fabrique des sculptures en fer forgé, on dit « je pourrais faire pareil »… et à ma belle-sœur qui cuisine des tapas, on dit la même chose. Eh bien faites, ne vous en privez pas : on n’invente rien, on reproduit ce que nos aînés nous ont appris, on suit la même voie, on la peaufine.

Les mots sont des outils créés et mis à notre disposition par des milliers de nos prédécesseurs qui les ont utilisés afin que les langues ne meurent pas. Que vivent les langues, que vivent les mots.


« Le mendiant » par Philippe DERCKEL

Assis sur une marche                                                     I
d’un escalier rugueux,                                                    I
son bras forme une arche                                              I
qui se tend vers nos yeux.                                             I

Son bonheur est passé                                                   I                           Il ne parle jamais
et demain incertain                                                        I                           sauf quand il dit merci
car ses poches sont vides.                                             I                            à un geste inconnu
De ses yeux pleure une ride                                         I                            à une main émue.
qui va sécher au matin,                                                 I                           Alors il apprécie
tant d’angoisses ressassées                                          I                            ce pain qu’on lui promet.

Nos souliers qui le frôlent,                                           I                            Merci est difficile
éculés ou vernis,                                                         I                            lorsque la vie est fragile.
ont parfois un air drôle                                                 I
qui lui chasse l’ennui.                                                    I
Sa casquette est trop grande                                        I
à nos cœurs engourdis                                                   I
par la folle sarabande                                                     I
de nos petits soucis.                                                        I


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« Les avatars de Balthazar »  par Christian LAUNAY

Dans tout le quartier, celui de la gare St Lazare, haut lieu de débauche, là, où fleurissent, la plupart des lupanars, tout le monde connaissait Gaspard, dit« l’Anar ». Rusé comme un renard, il ne fallait pas lui raconter des bobards.
Le Gaspard, c’était un sacré lascar, un véritable Malabar pas ouvert pour un sou qui, du haut de ses deux mètres, imposait le respect au sein de sa maison close, règle d’or pour un taulard. De toutes les manières, cet ancien maquisard hyper ordonné, n’aurait pas toléré le bordel dans son lupanar.
Tel un père fouettard, il avait d’impitoyables critères de sélection, il refusait l’accès de son boxon à tous les nanars de la terre, exit : les tricards, les ringards, les cabochards, les scribouillards, les cornards, les vicelards, les pochards, les salopards, les barbares, les gros-lards, et encore beaucoup d’autres bien moins courants. De surcroît, antimilitariste forcené, il refoulait impitoyablement les vieux Grognards.
À chaque gesticulation, coup de poing et autre vocifération, le clébard de la taule d’en face, se mettait à hurler à la mort, comme un coyote. Je vous le jure, il gueulait pire qu’un jars, on aurait cru qu’il avait avalé du curare…
Par temps de brouillard, certains clients hagards devaient une fière chandelle à la fameuse lanterne rouge, grâce à laquelle ils pouvaient arriver peinard à leur lupanar favori.
Balthazar avait connu ce bouge, par hasard. Curieux de nature, il avait eu grand plaisir à rencontrer chacune des butineuses du bobinard, grâce à chacune, il avait connu les délices du plumard, après les ébats voluptueux il devenait alors, hilare. Goguenard et de surcroît physionomiste, il avait enregistré dans sa tête de cabochard le portrait de leur bobine à chacune, comme cela, il se faisait des films érotiques, tout seul, chez lui.
Belles de jour comme belles de nuit, les filles de joie avaient surnommé leur patron : le Drakkar, qui avait sans nul doute du sang viking ?
Dans cette « volière de luxe » hum, de luxure, on pouvait y voir une superbe tapisserie, qui reprenait joliment le motif des nénuphars. Le célèbre tableau de Monet, « les Nymphéas » avait du inspirer le décorateur au teint blafard, amateur de têtards.
Ici, on ne buvait pas cet infâme pinard, la drogue des pochards, grâce au samovar, qui fournissait de l’eau bouillante en permanence, on y consommait plutôt du thé en provenance directe du Royaume de Myanmar. Cette eau avait également une autre destination, oh combien précieuse ! En ces périodes de syphilis galopante, un peu d’hygiène cela ne pouvait pas faire de mal aux tubards et autres tocards.
Avant ou après les galipettes et tout le bazar, on y dégustait du caviar à la louche, c’était carrément bonnard !
Balthazar vint au lupanar dix ans plus tard, un jour de cafard, alors qu’il venait d’enterrer sa vie de bagnard. Curieux de nature, il choisit une fille avec laquelle il n’avait pas encore tamponné le coquillard. De retour au pays, l’ancien galérien avait repris ces bonnes habitudes, c’est vrai qu’il aimait être dépaysé. Avec Hildegarde, il allait être comblé. Dès la première approche, il se fit la réflexion : « c’est incroyable, comme cette fille me fait penser à Léonarde ! »
…. La suite au prochain numéro !


« Les nouveaux artistes »  par Franck TABOUREL

Il a empaqueté le pont Neuf à Paris, le Reichtag à Berlin, il a encerclé les îles de la baie de Biscayne à Miami ; lui, c’est Christo. Eux ont vu le pont Neuf, emballé par Christo, et cette image onirique les a fait rêver. Ah, s’ils pouvaient, eux aussi, créer de si belles œuvres !… Combien de fois ont-ils chantonné : « J’aurais voulu être un artiste »…
Et puis, un jour, promenant leur chien sur les trottoirs de la ville, soudain devenus écolos, sac plastique à la main, face à la crotte de leur animal, une inspiration soudaine les prend à la gorge, les soulève, les transporte dans une transe inconnue d’eux jusqu’alors, et leur apporte la révélation depuis si longtemps attendue : « Si Christo l’a fait, je peux le faire ».
Et les voilà, emballant la sublime déjection et, rejetant leur initial projet de déposer l’objet incriminé dans l’urne prédestinée, ils transfigurent l’excrément en le transformant en une œuvre d’art qu’ils déposent délicatement sur le trottoir ou encore sur une boîte à lettre, telle une marque déposée.
Auparavant, ils regardent autour d’eux, espérant être reconnu et entrer dans la légende, dans la postérité, mais hélas, il ne se trouve jamais de passant au moment de la création de l’œuvre d’art, c’est pourquoi ces artistes anonymes ne sont jamais reconnus à leur juste valeur.


Aller p8 journal sept 2019


Mots croisés spécial noms propres par Philippe MARQUES  (Solutions à partir du 15 octobre sur le site)

1/ Indéfectible soutien de B. Al Assad, il ne se mange pas comme les alevins de sardines! – S’est mis en marche mais n’avance guère 2/ A la recherche de la cannelle il découvrit l’embouchure de l’Amazone et fut à l’origine du mythe de l’El Dorado – Syndicaliste français 3/ (sigle) Ses autos ne sont plus les bienvenues aux states, dixit Trump—Où passait ce fléau de Dieu l’herbe ne repoussait plus 4/ A Dieu et aux mathématiques allèrent ses Pensées- Le nom jeté de ses habitants est «les enragés» – Née Kappelhoff, chanta «Que sera, sera» dans un film d’Hitchcock 5/ Préposition—En 1905 le Potemkine s’arrêta dans cette cité dont le Duc de Richelieu fut le gouverneur—Ce bon docteur maniait plus souvent un révolver qu’un stéthoscope! 6/ Quand les canons ferment leur gueule—La crève ou par les flics 7/ Mesure de surface- pronom personnel- Depuis mon naufrage en 2000, je ne menace plus que les poissons de la mer de Barents 8/ Les Femen ne le sont qu’à moitié—Nous y seront tous confrontés, sauf Berlusconi qui se fait tirer la peau régulièrement 9/ (sigle) Les industriels ont trouvé là le moyen de rendre dépendant les agriculteurs à leurs semences—Donne le choix—Dans «Eloge de la folie» il écrit à propos de l’Eglise «fondée sur le sang, confirmée par le sang, accrue par le sang» 10/ Quand la plaque Eurasienne rencontre la plaque Africaine—Etain—Hubert Bonisseur de la Bath 11/ (sigle) Ses dirigeants furent exécutés lors de la nuit des longs couteaux—Une douche s’impose après 12/ Ce sommet ne se gravit pas 13/ Habituelle—Pythagore aurait fait une pause chez ce membre des BRICS 14/ Contribua à la chute d’Al Capone—Le tirer c’est mettre un terme A/ Ce proche de Trump s’est réjoui du réchauffement en Arctique, car cela offrait de nouvelles perspectives économiques- (sigle) Prête à tout afin que l’Algérie reste française—Quand on se divise par soi-même B/ Chef de file du groupe de Visegrad—On ne sait pas si cette clé a voté pour le Brexit C/ (sigle) 27 au 31 octobre? – Grand amateur de trous, a le même sens de la diplomatie qu’Attila—Dépouillés comme des vers D/ Thallium—Au sud la K pop, au nord un petit homme dodu dort avec ses missiles sous les draps—Peintre de l’hyper réalisme E/ Point culminant de ce récit: le combat entre Hector et Achille—Son pont fortifié sur la Bévéra et…les actions de ses habitants en faveur des migrants F/ Sodium—Docteur en chimie, sa déportation à Auschwitz marquera son œuvre littéraire—On y atterrit, on y décolle 645 fois par jour au grand désespoir de ses habitants G/ Fait partie des 100 montagnes célèbres du Japon—Y manger c’est se servir—Pas besoin de boire pour la bourrer H/ Entreprise française du numérique—Article défini—Adjectif possessif I/ Retardent l’avancée du feu—Si on pouvait s’en tenir à celui d’ArianeV J/ En cours d’anglais les faux furent des pièges—Située sur la route de la soie, on y trouve les momies du Tarim—(sigle) BNF de l’audiovisuel K/ Durillon—Durant la débâcle de 1940 la cité accueillera le gouvernement et les parlementaires—Adepte d’une Inde uniquement hindouiste L/ Maison marocaine—Prénom du F2—Et sans bavure M/ Servit d’étalon sans pour autant courir à Longchamp—Elles non plus n’ont jamais couru à Longchamp N/ Baptisée Nouvelle Angoulême puis Nouvelle Amsterdam, ses visiteurs ont la tête en l’air—Grand voyer de France, c’est en se rendant à son chevet qu’Henri IV fut assassiné