JOURNAL N° 19 MARS 2020

SOMMAIRE n°19 – Mars 2020

p.1: Edito par Philippe Marques
p.2: «Les poètes se cachent pour écrire» par Souleymane Diamanka
p.3: «Politiquement correct» par Franck Tabourel
p.4 et 5: «Tranche de vie» Jocelyn Paris— »Poésies» par Philippe Derckel—  »Planète Terre» Marie Leseigneur
p. 6 et 7: «Désobéissance civile» par Jocelyn Paris – «Collapsologie» par Franck Tabourel
p.8: On se détend : Mots croisés par Philippe Marques

AGENDA

Suite aux décisions prises par le gouvernement pour lutter contre l’épidémie due au coronavirus, nous sommes obligés de mettre en sommeil nos activités et réunions. Le Printemps des Poètes prévu le samedi 28 mars est donc annulé ainsi que l’assemblée générale prévue le jeudi 2 avril.

Pour l’instant, le Festi Baleti est maintenu au 30 mai sous le préau de l’école E. Félix de St Vallier mais cela dépendra évidemment de la façon dont les choses vont évoluer.

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Edito:

Voilà un mois de mars bien rempli: offensive du Covid 19 et son cortège de mauvaises nouvelles, élections municipales et… son (futur?!) cortège de mauvaises nouvelles, batailles d’égos surdimensionnés en Syrie qui prennent en otage des centaines de milliers de réfugiés et où l’abominable côtoie l’abject et l’infâme, j’en passe et des meilleures …
Mais, j’essaye de m’en persuader en tout cas, l’évènement le plus important de ce mois est sans doute … le printemps des poètes.
Pourquoi le plus important? Hé bien, parce que je crois que la poésie, (avec l’humour et la dérision) peut être notre bouée de sauvetage, pour peu que l’on en mette un peu partout. Prenons l’exemple des déplacements en ville: si nos édiles développaient sérieusement et massivement les cheminements « doux » (un terme déjà évocateur de poésie, non?!), vélo, marche, etc, ainsi que le verdissement de nos cités, on pourrait, en partant travailler le matin, laisser vagabonder notre regard sur les premières pousses printanières ou sur le changement des couleurs à l’automne, sur cette brume et ce petit crachin désagréable qui nous fouette le visage mais donne à tout ce qui nous entoure, un aspect fantomatique qui stimule notre imagination et atténue la différence entre ce qui est laid, réputé laid en tout cas, et ce qui est beau, réputé beau là aussi!
Bon, je suis bien d’accord avec vous: il faudrait régler quelques menus soucis auparavant pour que ce tableau idyllique devienne réalité. Poésie n’empêche pas un peu de lucidité mais permet de rêver un peu. Je suis lucide également sur le fait que les puissants de ce monde, les Trump, Erdogan, Poutine et j’en passe et des pires, ceux qui ont notre destin d’humain entre leurs mains, sont loin, très loin d’être des poètes!
Il y autant de poésie dans un tweet trumpien ou dans un discours de Bolsonaro, que de poils sur la jambe d’un cycliste du Tour de France! Il va donc falloir nous résoudre à faire sans eux, à embellir ce monde malgré eux.
La Terre que nous arpentons tous les jours, la beauté et la diversité des paysages qu’elle nous offre, la beauté et la diversité des animaux et des plantes dont elle nous régale, c’est de la poésie à l’état pur. Que l’on soit à la pointe du raz ou au milieu d’un désert de sable ou de glace ou que l’on écoute le brame du cerf, cela provoque des émotions, nous prend aux tripes. Pour moi, la poésie c’est en grande partie cela et c’est ce qui nous rend vivant.
Malheureusement, notre planète est un peu devenue le « paradis perdu » et il va falloir qu’on se réveille rapidement toutes et tous afin que l’on ne se retrouve pas dans l’impossibilité dans un avenir proche, de voir tous ces trésors autrement que sur une télévision ou dans des livres richement illustrés, ce qui serait un moindre mal?!
Bonne lecture à toutes et à tous de textes à haute valeur émotionnelle


aller p1 mars 2020


« Les poètes se cachent pour mourir »,  Chanson écrite par Souleymane DIAMANKA

Les mots sont les vêtements de l’émotion,
et même si nos stylos habillent bien nos phrases,
peuvent-ils vraiment sauver nos frères du naufrage
Les poètes se cachent pour écrire c’est pas une légende Rouda regarde nous,
On a traversé des rivières de boue à la nage,
on a dormi à jeun dans la neige et on est encore debout,
Les poètes se cachent pour écrire, chacun purge sa pénombre
Dans une solitude silencieuse que certains pourraient craindre
On somme les mots de s’additionner comme les nombres
La poésie opère comme une lumière mangeuse d’ombre
J’aime cet état mais le temps qu’on passe à l’attendre n’est pas si tendre
Parfois il faut presque s’éteindre pour l’atteindre
Pacificateur notoire chaque rime est une cascade
Dans les lieux oratoires, l’auditoire n’aime pas les phrases fades
Dans ma vie j’ai écrit plus de textes que n’en reflètent d’étoiles que le grand lac Tchad
J’ai cherché la vérité dans les lignes de chaque énigme
de chaque conte et de chaque charade
J’ai interrogé les bons médiums pour chasser les mauvais djinns
J’ai répondu amine quand ma mère m’a dit « mbalen é jaam »
J’ai couru après les horizons sur chaque page
Avec l’énergie des anciens possédés par le jazz
Pour ne pas à avoir jouer à cache-cache avec le diable
Les poètes se cachent pour écrire c’est pas une légende John Banzaï regarde nous,
Toi et moi c’est l’écriture qui nous lie
C’est dans la solitude qu’on apprend la convivialité et tant pis pour celui qui le nie
Le feu passe au vert et l’oralité passe par nous
Le verbe est une clé indispensable
dehors on nous demande des mots de passe partout
Les poètes se cachent pour écrire c’est pas une légende
Grand Corps Malade regarde nous,
On a traversé des rivières de boue à la nage,
on a dormi à jeun dans la neige et on est encore debout …


« Politiquement correct », écrit par Franck TABOUREL

— Un homme inverti en vaut deux, puisqu’il peut faire l’homme aussi bien que la femme.
— Hé ! C’est une blague sexiste…
— Oui, je sais, maintenant, seuls les juifs peuvent faire des blagues sur les juifs, les arabes sur les arabes, les pédés sur les pédés…
— Il ne faut pas dire pédé !
— Si, si, les pédés ont le droit, les homosexuels, si tu veux. Eh bien, je vais t’avouer une chose : je suis gay.
— Tu veux dire que tu es gai, tu es joyeux, tu rigoles… ?
— Oui aussi, mais je veux dire que je suis homo, mais comme je suis également hétéro, je suis bisexuel, même si je ne suis pas vraiment pratiquant. D’ailleurs, à priori, tout le monde est bisexuel, à part ceux qui refoulent leur homosexualité. Donc j’ai le droit de faire des blagues sur les pédés.
— N’empêche, qu’il ne faut pas dire pédé.
— Pourquoi, ce n’est pas bien d’être pédé ?
— Euh, disons que je n’ai rien contre…
— Tu préfères que je dise tante ? Alors j’ai une autre blague : si ma tante en avait, on l’appellerait mon oncle, et si mon oncle en était, on l’appellerait ma tante…
— T’es con.


Aller p2 et 3 journal mars 2020


« Tranche de vie » écrit par Jocelyn PARIS

Foin de la pingrerie, ce soir j’organise un bal. Peuchère, ça s’arrose – ou ça se noie – 65 piges.
Famille, amis, copains, copines; allez, soyons fou ouvrons à tous puisque rien ne m’y oblige
Quel succès! Tiens, un roitelet à la Jarry affublé de sa cour, ineffables manieurs d’encensoirs
Faciles à repérer. Ah! ce sourire affable, condescendant de l’arrogance que donne le pouvoir.
Bien, qu’il soit venu, «sur le plus haut trône du monde on n’est jamais assis que sur son cul»
Et alors! Si l’on est un tant soit peu instruit, autant citer Montaigne, sinon c’est peine perdue.

Les musicos – compères chapeautés – règlent leurs instruments, égrènent les premières notes
Un tour d’horizon rapide Tout le monde semble là. Oh! même un curé, une ou deux bigotes
Bah! Quel dommage, ils n’auront pas droit à la sempiternelle satire d’un vieil athée de souche
Eh oui ! ma petite voix intérieure : « ce soir, guimauve et flonflons, tu n’ouvres pas la bouche ».
Obligé, quand on a le vin loquace et rebelle. Avec un brin d’emphase ? c’est selon l’entourage.
Bon, « de la musique avant toute chose » comme le disait si bien Verlaine. Fi du laïus d’usage.

Chauffe l’accordéon, chauffe ! les corps se délient ; en rythme se vident les têtes et les verres.
Ce soir oublie… La cupidité mortifère, la dominance stupide et brutale, les désespoirs soumis.
Oublie la décimation du sauvage, la mise en clos et la surveillance que trop de gens révèrent.
Oublie l’urgence climatique, les pollutions ; les tout petits pas, le verdissage, seuls compromis.
Oublie camarade la lucidité bafouée, le combat harassant, les âpres luttes, les cinglants revers.
Ce soir, ô doux épithalames – bien moins tristes que ceux d’Hugo – instaurez le droit à l’oubli.

Chauffe la gratte, chauffe ! Sors-nous au débotté une chanson qui parle d’elle sans la nommer.
Ce soir chante… Encore plus haut et plus fort la mélancolie joyeuse des espoirs des insoumis.
Chante pour les fâcheux aussi, ceux que nul ni rien ne peuvent convaincre par peur de douter.
Chante plus loin, plus juste que leurs certitudes délétères, la beauté dessillant nos insomnies.
Chante compagnon la vie l’amour la révolte, de civils dithyrambes pour nous enthousiasmer.
Ce soir, ô doux présent, remisé l’Unique de Stirner, l’allégresse résonne en moi comme un cri.

Mais il est tard, le bal s’étiole, par petites grappes nombre d’invités ont regagné leurs pénates.
Bien sûr la promesse de se revoir bientôt, juste se sentir humains enivrés de sublimes cantates.
Demain résister, inventer des chemins hors les dieux, les rois, les chefs et tous leurs zélateurs.
Ô prédateurs de l’humanité et du vivant, hygiénistes de la pensée, serviteurs falots de la peur,
Gardez vos légions d’horreur, enveloppez-les dans un drapeau et chantez-leur la Marseillaise.
Moi, je préfère le trait de Laborit «conscience, connaissance, imagination», ne vous déplaise

Allez, salut les artistes ! et merci de m’avoir de nouveau fait croire que la vie peut être belle.


« Poésies » recueil de poèmes écrits par Philippe DERCKEL  aux éditions DOMENS

Le soleil a roulé
Derrière la colline
L’ombre s’étend
Et se repose
De la brûlure du large
Le souffle vient
Et tremble la feuille
L’air s’allège
Le corps se berce
Comme un duvet
Flottant au dessus des têtes
Le soir rafraîchi
Descend lentement sur les épaules
Laisser entrer la douceur
Qui frappe à la porte de la nuit


Comme une main
Qui frappe à la porte
Du printemps
La voix du cœur s’ouvre à la lumière
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Une journée
Portes ouvertes à l’autre
Dure toute la vie
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Tous les matins
Le soleil frappe à la porte
Qu’on lui offre


aller p4 et 5 journal mars 2020


« Désobéissance civile » écrit par Jocelyn PARIS

Le 15 mars, à St-Vallier-de-Thiey comme partout en France, se déroulent les élections municipales. Six ans, c’est très long pour un mandat électif. Après deux mandats de conseiller municipal, par souci de cohérence avec mes convictions (limitation des mandats en nombre et dans le temps) et mes combats – je ne me suis pas représenté. Non par désintérêt de la vie publique ou politique, au contraire.
Bien triste bilan ! Seul élu de l’opposition écocitoyenne face à l’immobilisme dogmatique droitiste, je n’ai pas réussi à infléchir, au sein des conseils municipaux, le cours plan-plan des événements. Pourtant, je reste persuadé que notre commune a le format idéal pour oser, innover, avancer ensemble sur les voies de la transition écologique et solidaire. Hélas : – Nos moyens communs vont à la vidéosurveillance plutôt qu’à la mise aux normes pour l’accessibilité de tous les lieux publics aux personnes souffrant de handicaps, celle-ci étant repoussée à la date butoir légale. – Rien sur la démocratie participative. Quid par exemple des commissions qui devaient être ouvertes à la population ? Les initiatives citoyennes alternatives sont refusées ou empêchées. Tout doit venir « d’en haut », là seul où sont les savoirs et les compétences.
Quelle insolente immodestie ! – Aucune avancée sur la pollution lumineuse. – L’habitat collectif participatif ? Pas chez nous. – Les bâtiments récemment construits sont à énergie fortement carbonée ou nucléaire. Nous n’en sommes pas encore à la transition énergétique, alors l’écologique, l’économique, la sociale et la solidaire… « un jour pourtant, un jour viendra ». Peut-être y a-t-il pire ailleurs, mais quel dommage de manquer tous ces trains que d’autres – de plus en plus nombreux – prennent. J’espère que nous ne raterons pas le dernier. Convaincu qu’il est impératif et de plus en plus urgent d’entendre les appels des scientifiques – 15 000 en 2017 de pratiquement 200 pays, puis en 2018, puis en février de cette année 1 000 scientifiques français non inféodés appelant à la désobéissance civile face à l’inaction climatique – je voudrais qu’on en finisse avec cette politique à la papa ou à la grand-papa.
Ces séquences électorales où l’on nous demande uniquement de voter pour un faciès affiché en grand, une cravate ou un tailleur. Et puis plus rien jusqu’à la prochaine. C’est fini, périmé, obsolète, presque indécent eu égard aux défis que nous avons à relever collectivement et à l’incurie, voire à l’hypocrisie, d’une grande partie des élus et des « dirigeants ». Même avec un pot de peinture verte.
En attendant le grand coup de balai à tous les échelons de nos institutions, j’espère très sincèrement que les élus de notre commune auront rapidement à cœur de jouer plus collectif et de travailler avec nous. La transition n’est pas uniquement une affaire d’États, elle doit s’opérer en chacun de nous et à tous les niveaux. Puis c’est tellement mieux quand ça part d’en bas. Fermez le parc d’attraction, s’il vous plaît. Laissez les infrastructures, le bien-être et le bien vivre ensemble on s’en occupe, c’est notre affaire à tous. La démocratie radicale ou la Chine ? J’ai choisi et suis solidaire des scientifiques. Six ans ça peut être trop long, ou pas.


« Collapsologie »  écrit par Franck Tabourel aux éditions Paroles et parchemins

Je le sais, je le sais depuis plus de quarante ans, et je ne suis pas le seul à le savoir, à l’avoir su, Haroun Tazieff et René Dumont, entre autres, l’ont dit. Bien sûr, personne ne voulait les croire, ou très peu, et ceux-là étaient pris pour des illuminés.
Maintenant, ça y est, nous y sommes, non pas au bord de la fin du monde, pas encore, mais il devient indéniable, (à part pour des Trump et pour quelques individus de sa trempe), il devient indéniable que les modifications du climat sont en grande partie dues aux activités humaines.
Il serait logique de réfléchir, sinon à tout arrêter, au moins à ralentir la croissance, mais non, au contraire, on continue de plus belle : plus de croissance, plus d’avions, plus de tourisme, plus de croisières, plus de production, plus de consommation… Plus, plus, plus.
Pourtant le GIEC, pourtant les écologistes, pourtant Greta… on s’en fout… ils s’en foutent, ils veulent continuer à accumuler, tant qu’ils le peuvent, sur le dos de tout le monde.
Nous fonçons droit dans le mur et personne ne veut appuyer sur le frein.
D’aucuns évoquent un prochain effondrement, c’est probablement ce qui va se produire avec, peut-être, la moitié de la population du globe qui va disparaître dans les prochaines décennies…
Ce qui m’étonne, c’est que cette perspective me laisse froid : on va tous mourir, et alors…
En fait, ça va être terrible !


Aller p6 et 7 journal mars 2020


« Les mots croisés » de Philippe MARQUES

Définitions et grille à retrouver en cliquant sur le lien suivant:

aller p 8 mars 2020

1/ Moins mignons qu’un panda ou un koala méritent-ils pour autant de disparaître? 2/ Au pot, ne pond plus—Du lait en sort—Contient des bulletins ou des cendres 3/ Conjonction—Le cœur accélère, un goût métallique envahit la bouche…- Pronom—(sigle) L’intérêt de son contenu a évolué de façon inversement proportionnelle à sa taille 4 On en trouve en bibliothèque—Aime à se fondre dans le décor—On le pousse mais on n’avance pas pour autant 5/ Pour des religieux c’est un mécréant—Ne procure du plaisir que s’il est consenti (et encore, pas toujours!)—Désert de pierre 6/ Titane— Pionnière du courant romantique, elle revendiqua dans ses romans l’émancipation de la femme—Cité de Guillaume le Conquérant, sa population subit de lourdes pertes lors du débarquement de 1944 7/ E. Dantès s’en échappa—Certains l’aiment forte 8/ Audacieuse—Continuer à être 9/ N’a pas de clous quand il est autour du ventre—Valeur refuge—A moelle ou à ronger 10/ Enduit à base de marbre blanc—Y’a comme un défaut—C’est ce qui arrive quand elle obtient la majorité des suffrages 11/ Les gladiateurs s’y entretuaient, les taureaux s’y font trucider—Amant de G. Sand et auteur de Lorenzaccio 12/ Recueil de textes écrits par A. Rimbaud préfacé par Verlaine—Radium—Article indéfini A/ Barkhane, Serval, Epervier sont parmi les plus récentes B/ Agissent en tournant—La voie ou le chemin en philosophie chinoise C/ Sans habit—Thorium—Représentation d’un volume projetée sur un plan D/ Flottante ou de beauté—Mieux vaut qu’il y en ait plusieurs différentes dans une forêt E/ Pas de danger pour les marins si elle est sous un crâne—Conjonction de coordination F/ Marque l’étonnement—Avec ce foutu coronavirus, nombre de représentations auront ce message devant la porte G/ A l’origine d’une crise sanitaire majeure aux USA du fait de la rapacité des labos les fabriquant H/ Un des petits noms du Soleil en astronomie chinoise—Où l’on peut se faire dorer la pilule I/ Ville légendaire de Bretagne engloutie par les eaux—1001 en chiffres romains—La vertu dans le Taoïsme—Etre sans défaut, mais peut-on l’être? J/ Le gain d’un, ne fait pas le gain du match—Préfixe signifiant égal—Jouèrent un rôle décisif dans l’accession d’Hitler au pouvoir K/ Conjonction de subordination—Voiliers à un mat et plusieurs focs L/ Successeur durant l’Archéen du Vaalbara, un autre super continent—Protège notre cerveau des objets contondants—Diode luminescente M/ Malgré son nom, on peut aussi sortir par là! – Maritime, aérienne ou terrestre N/ Née Rabutin-Chantal, elle entretint une riche relation épistolaire avec sa fille—Pronom personnel