Journal décembre 2020

SOMMAIRE n°20 – Décembre 2020
p.1: Edito par Philippe Marques

p.2 et 3: « Les banquiers « de Franck Tabourel —- « La forêt urbaine selon Akira Miyawaki » par Philippe Marques
p. 4 et 5: —Poésies des élèves du Collet de Gasq sur le thème du « courage »
p. 6 et 7: « Jongleries » par Christian Launay — « On ne l’est jamais trop » par Franck Tabourel
p.8: On se détend : Mots croisés —

AGENDA
– Tous les samedis de 10h à 12h, nous vous accueillons avec beaucoup de plaisir au jardin collectif participatif que nous avons mis en place au printemps (sortie St Vallier en direction d’Escragnolles, à droite 150m après le carrefour de Caussols). En plein air, sur une grande surface, pas de problème de distanciation et même en hiver, il y a du boulot!
– En fonction de l’évolution de la pandémie, nous espérons reprendre nos réunions mensuelles l’an prochain et organiser le printemps des poètes au mois de mars. Wait and see!

EDITO: Le mois de décembre, hormis les bêtisiers à la télévision et les fêtes de Noël en famille, c’est le moment de faire le bilan de l’année écoulée et je ne crois pas me tromper beaucoup en disant que2020 aura été une année de M…! :
Pandémie de covid 19 et son lot de décès, de couvre-feu, confinement, déconfinement, de pression extrême sur notre système de santé, attentats meurtriers chez nous mais aussi en Autriche, en Afghanistan, au Mali …, violences policières régulières et de plus en plus difficiles à mettre sous le tapis, même si des projets de loi mal ficelés et dangereux essayent de le faire, migrants toujours aussi nombreux à se noyer en Méditerranée et, quand ils s’en sortent, à être ballotés de camps de réfugiés surpeuplés en camps de fortune régulièrement démantelés, crise économique majeure (déjà) présente et à venir, seuil des 10 millions de pauvres (à 2 ou 3 millions près) atteint cette année en France et des inégalités qui n’ont jamais été si fortes… Bref, arrêtez le massacre!
Heureusement, quelques lueurs viennent éclairer ce tableau bien sombre: Jeff Bezos a vu sa fortune augmenter d’une centaine de milliards de dollars (à la louche!) entre le mois de mars et celui de novembre tandis que les dirigeants des géants pharmaceutiques Pfizer et Moderna ont empoché un joli pactole en vendant une partie de leurs actions au bon moment. Délit d’initié? Nooon! Ceux qui insinuent cela ne sont que des jaloux. On nous promettait avec ces bouleversements un monde nouveau, vous allez voir ce que vous allez voir! Au final, le monde ancien est toujours bien présent. Environnement?: un lobby de betteraviers réclame de pouvoir utiliser les néonicotinoïdes? Pas de problème, on sort une dérogation du chapeau, alors que depuis 2016, date du vote de la loi contre l’utilisation de ces produits, la filière n’a rien fait pour pouvoir s’en passer. Social?: le gouvernement multiplie les mesures ponctuelles à l’adresse de tel ou tel groupe de personnes 100€ par-ci, 150€ par-là sans qu’il y ait une vision de long terme. Ca me fait penser à ce dessin animé où Tom le chat embarqué sur un rafiot qui prend l’eau, tente de boucher les trous au fur et à mesure que Jerry la souris les perce. Résultat? Le bateau coule avec son occupant! Nos dirigeants et même une grande partie de nos élus ont tellement la tête dans le guidon, que leur vision de l’avenir s’arrête au niveau du boyau avant.
Seule solution pour aller concrètement vers ce monde nouveau: relever la tête et tout faire pour qu’on ne se retrouve pas en 2022 avec un duel droite-extrême droite digne de l’ancien monde.
Messieurs Mélenchon, Jadot, Roussel, Faure et consorts, élus de gauche de tous les pays unissez-vous!

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Forêt urbaine selon Akira MIYAWAKI par P. Marques


Rêvons un peu: nous sommes au bord de mer, près du fort carré d’Antibes, il fait beau, les yachts sont briqués comme jamais et la mer est calme. Lentement, votre regard balaie l’horizon et rencontre à l’est, au ras de l’eau, une nappe de brume mêlant l’orange et le gris. Hé bien dessous, 340 000 personnes respirent tous les jours à plein poumon cet air chargé en particules fines, Nox, CO2 etc. Cette pollution de l’air n’est bien sûr pas l’apanage de la métropole niçoise, toutes les villes y étant confrontées à des degrés divers (en France, elles sont responsables de 67% des émissions de GES (gaz à effet de serre). Or, comme 55% de la population mondiale (+ de 80% en France) vit dans des villes (bâti continu et 2 000 Hbts minimum), leurs problématiques environnementales, l’air mais aussi la gestion des déchets, les îlots de chaleur, l’accès à l’eau etc, ne sont pas un petit enjeu puisqu’elles impactent la vie de milliards de personnes.

Parmi les solutions «miracles» que nous ont survendu la quasi-totalité des candidats aux dernières municipales, la plantation d’arbres voire de forêts. a donné lieu à une furieuse bataille de chiffres: à Paris, A. Hidalgo en promettait 170 000, à Lyon, le candidat LR, 500 000 et à Metz, palme de l’originalité, ou de la débilité c’est selon, le candidat RN promettait de planter un arbre à chaque naissance d’un ou d’une petite messine! Le maire »vert» du XXIème siècle semble avoir trouvé la parade ultime à toutes les problématiques environnementales de nos cités. Alors, bonne idée ou enfumage?
Comme souvent en matière d’environnement, la réponse n’est pas aussi simple qu’un slogan électoral: si le verdissement des villes est effectivement bénéfique sur le plan de la pollution de l’air, de la baisse des températures, de la création d’îlots de biodiversité au milieu d’un océan de bitume et de béton, ou même, de la «santé mentale» de ses habitants, il doit respecter certaines règles au risque d’une efficacité réduite et même parfois, contre productive: les platanes par exemple, émettent des composés volatils lors des pics de chaleur, qui augmentent la pollution à l’ozone. Certaines espèces favorisent plus que d’autres la biodiversité: le chêne par exemple, peut abriter entre 300 et 500 espèces différentes, ou trois fois plus de coléoptères que le tilleul ou l’épicéa. Plus que le nombre, c’est le choix des essences, leur diversité, la nature et la qualité du sol et le lieu d’implantation qui importe.
Dans les années soixante, Akira Miyawaki, un botaniste japonais, travaillait sur la composition des forêts au Japon et se rendit compte que la quasi totalité des essences avait été importée (bois de construction ou d’agrémentation), 0,06% à peine de celles-ci étant composées d’espèces autochtones. C’est ainsi qu’il commence dès les années 70 à expérimenter un peu partout au Japon puis ailleurs, une méthode de plantation à partir d’un concept qu’il a découvert en Allemagne. L’idée est de recréer dans des zones urbanisées ou dégradées par l’Homme, les forêts primaires telles qu’elles se seraient naturellement développées sur le lieu du projet de plantation, en brûlant un peu les étapes de façon à ce que ces forêts soient matures et autonomes plus rapidement que si dame Nature s’en chargeait : 20 à 30 ans environ dans un cas, plusieurs siècles dans l’autre.
On débute par la recherche des essences autochtones (dans un rayon de quelques dizaines de km) car ce sont celles qui auront le plus de chances de s’adapter et résister sur le lieu de la plantation. On recherche également la plus grande diversité possible, idéalement entre trente à cinquante espèces différentes. Le long du périphérique parisien, l’association «boomforest» en a utilisé une vingtaine environ.Ensuite, une plantation très dense: 3 à 5 jeunes pousses au mètre carré. Dans le cycle d’évolution naturelle d’une forêt, pour environ un millier de graines au mètre carré qui tombent au sol, seules trois à cinq deviennent des arbres au bout du compte. Les essences sont d’autre-part réparties de manière aléatoire afin de reproduire (de s’en approcher en tout cas, soyons modestes !) la complexité d’un milieu naturel où l’émulation, la compétition et/ou la coopération règnent en maître. Le résultat au bout de quelques années, trois à cinq en général, c’est un écosystème où la végétation est déjà bien développée : les jeunes arbres qui sont en compétition pour l’accès au soleil, prennent environ un mètre par an. La biodiversité est au rendez-vous dès la première année grâce à la grande variété et densité des espèces présentes, chaque insecte, oiseau, ver, mousse ou champignon trouvant chaussure à son pied.


Enfin, Akira Miyawaki insiste sur l’aspect participatif que doit revêtir selon lui tout projet de ce type avec en corollaire, la sensibilisation à l’environnement d’un public le plus large possible. A Paris par exemple, des associations telles que «reforestAction» ou «boomforest» ont mis en place des espaces boisés le long du périphérique ou intra-muros, en s’inspirant de cette méthode et impliquant des dizaines de bénévoles. Les résultats sont pour l’instant prometteurs.
Bien sûr, les projets ne s’appuient pas tous sur cette méthode, certains lieux ne s’y prêtant pas; à Lyon ou à Nantes, des aménagements préfèrent se focaliser sur l’obtention d’une canopée (strate supérieure d’une forêt) la plus étendue possible en privilégiant les essences qui fournissent un bon couvert végétal avec une densité de plantation beaucoup plus faible pour favoriser la croissance d’arbres de grande taille. Et si à Saint Vallier, nous plantions des arbres dans la rue principale en lieu et place du bitume? Un ombrage généreux sans le passage tous les jours de milliers de véhicules sous les fenêtres des riverains? Sûr qu’ils ne diraient pas non!
Quelque soit la place qui sera accordée au verdissement de nos cités, cela ne doit pas nous exonérer (Etat, collectivités, édiles et citoyens lambda) de la lutte contre les causes de ces pollutions: transport, chauffage (et donc isolation thermique), industries etc, de la même façon que le recyclage ne doit pas masquer l’objectif principal qui est la diminution de notre consommation de produits en tout genre.
Signalons pour finir une initiative lancée par le botaniste Francis Hallé visant à recréer en Europe de l’ouest une forêt vierge de toute activité humaine sur près de 60 000ha à cheval sur plusieurs pays européens dont la France. Un chouette projet n’est-il pas!?


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« Les banquiers » extrait du recueil de F Tabourel: «Vous aurez de mes nouvelles»

Après le troc vint la monnaie
De coquillages ou de galets.
Lorsqu’on avait les poches pleines,
Qu’ils étaient trop lourds à porter,
Certains se donnèrent la peine
De les mette en sécurité.
Ils nous donnèrent du papier
Et nous eûmes les mains liées.

Messieurs les banquiers
Vous avez inventé la banque
Et tout notre blé
Depuis c’est chez vous qu’on le planque

Arriva au temps des croisades
Un nouvel ordre de banquiers
Qui nous sortit de la panade
Ils se nommaient les templiers
Mais le royaume étant ruiné
Le roi était criblé de dettes
Il n’avait plus de pépettes
Lors, on tua les templiers.

Messieurs les banquiers
Ce fut une belle banqueroute
Mais, les templiers,
C’est votre ligue qui fut dissoute.

C’est Mister Law qui fit la loi
En imposant des gros billets
Pour remplacer notre monnaie.
Ce ne fut pas de bon aloi.
Le banquier devenu ministre
Imposa, et ce fut sinistre,
Des règles amenant une crise
Qui mit les quidams dans la mouise.

Monsieur le banquier,
Il a bien fallu qu’on vous boute
Vous êtes exilé
Vous avez dû tailler la route.

C’est suite à des spéculations
Qu’en 1929 un krach
Créa du chômage par millions,
C’est ce qui mit l’Europe à sac
Devenus marchands de canons
Ils ont remis l’économie.
Ils nous ont pris pour des pigeons
Ainsi la crise fut finie.

Les spéculateurs
Nous ont bien mis dans la panade
Ce sont des voleurs
Nous sommes tombés dans l’embuscade.

C’est Monsieur Georges Pompidou,
Directeur de la banque Rothschild,
Président au regard si doux
Qui décréta la loi Rothschild
Qui obligeait l’Etat français
À emprunter à des banquiers
Ce qui l’obligeait à perpette
A générer beaucoup de dettes.

Monsieur l’président,
Faut pas mélanger les affaires
Ça c’est évident,
Avec la caisse communautaire.

Un banquier ministre des finances
Ça n’annonce jamais rien de bon
Surtout quand à la présidence
On tend à nous prendre pour des cons.
Ils nous ont fait croire que la dette
Était une chose inéluctable;
Soit ils sont tous des incapables
Soit ils ont croqué la galette.

C’est bidon la dette,
Faudrait pas nous prendre pour des caves,
C’est bidon la dette
Cette arnaque qui nous rend esclaves.

En 1789
L’abolition des privilèges
A fait fondre comme de la neige
Les avantages issus du bluff
Que les puissants nous faisait boire.
Abandonnez les privilèges
Et recommençons cette histoire.
Que l’égalité nous protège!
Et vous les puissants,
Lors vous ne pourrez plus chanter
Et on s’en fout d’attraper la vérole,
Et on s’en fout pourvu qu’on tire un coup!


Printemps des poètes sur le thème du courage: Propositions des élèves du Collet de Gasq de Saint Vallier de Thiey

Les écolier(e)s et les enseignant(e)s de l’école du Collet de Gasq de Saint-Vallier de Thiey ont mis un point d’honneur à fêter le Printemps des Poètes 2020 malgré les difficultés rencontrées ces derniers mois et sur lesquelles je ne vais pas revenir ici, je pense que tout le monde a eu largement sa dose d’informations (vraies et fausses!), et autres statistiques morbides?!
Le thème, plutôt bien adapté à la situation actuelle, était cette année: le courage.
Les enfants l’ont donc illustré à leur manière et je vous invite maintenant à lire et voir leurs oeuvres en cliquant sur le lien suivant:

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Comme Peter Pan
Qui sait voler
Sans peur du danger
Suivi par les enfants

Comme les combattants sans peur
De Lord Voldemort
Qui veut leur mort:
Ron Weasley et Harry Potter

Comme la souris Despereaux
Qui avec hardiesse
Délivre la princesse
Des griffes de Roscuro. Comme l’aventurier,
L’infatigable explorateur,
Le courageux pêcheur:
Courage … ou bien témérité?

Comme Joanne Rowling, l’auteure d’Harry Potter
Qui dans l’envoi de manuscrits a persévéré
Avant de bénéficier
D’un succès planétaire.

Comme ce brave garçon
Qui, n’écoutant que son courage,
Escalade vite quatre étages
Et sauve le petit qui tombe du balcon.
Comme Mowgli, qui
– quel courage –
Avec les animaux sauvages
A grandi.

Comme Iron Man (avec les gemmes de l’infini),
Qui ne recule devant rien
Pour sauver les Terriens
Au péril de sa vie.

Comme l’enfant
Qui, à huit ans, a su
Appeler le SAMU
Pour sauver sa maman.

Comme celle qui sa maison construisit,
Dans sa carriole transportant
Aussi ses nombreux enfants:
L’admirable mamie!

Ou comme l’élève handicapé,
Dysgraphique, dyslexique, dysorthographique….
Pour qui chaque apprentissage est comme
Un pic à escalader, à surmonter,
Qui sur ses forces doit s’appuyer
Et malgré ses difficultés, avancer.

Merci à mes élèves de CM1/CM2 du Collet de Gasq pour les exemples repris ici modestement.

Fabienne

Naissance d’un papillon par Elisabeth Marques


Jongleries par Christian Launay

– Entre gourmands, on ne prête pas le flan.
– Originaire de Carrare, le fossoyeur reste de marbre
– La ménagère n’est plus en tête de gondole, ça la met chiffon
– Le dindon en avait marre d’être plumé, il a ouvert une boutique de farces et attrapes
– « Errare humanun est » surtout quand on est complètement à l’ouest.
– Deux contorsionnistes se sont emmêlés les pinceaux, alors qu’ils ne peuvent pas se voir en peinture.
– Le confiseur a bien tenté de lui tenir la dragée haute, mais elle, le tenait par les bonbons
– À force de tirer sur la corde, le luthier finira au violon
– Le lapin, lui, il redoute le développement durable…
– Peut-on dire que les pets de nonnes sont nonessentiels ?
– L’ institutrice a une patience d’ange avec ses beaux petits diables.


« On ne l’est jamais trop » par Franck TABOUREL

– Un homme inverti en vaut deux, puisqu’il peut faire l’homme aussi bien que la femme.
– Hé ! C’est une blague sexiste…
– Oui, je sais, maintenant, seuls les juifs peuvent faire des blagues sur les juifs, les arabes sur les arabes, les pédés sur les pédés…
– Il ne faut pas dire pédé, c’est une insulte !
– Et pourquoi ? Pédé ça vient de pédéraste, chez les Grecs, tout le monde était homosexuel, c’était normal. C’est notre société qui est bizarre : il y a encore quelques années, c’était honteux, c’était même un délit d’être homosexuel, et aujourd’hui c’est un délit de faire une blague sur les pédés. Ils ont même inventé un mot : homophobe.
– Ils ont raison, il ne faut pas se moquer…
– Mais si je te prends au mot,
– Non, au secours !
– Au mot, en deux mots, n’aie pas peur… Si je te prends au mot, on ne peut plus rien dire. Donc, les pédés ont le droit, les homosexuels, si tu veux, ont le droit de se moquer des homos. Eh bien, je vais t’avouer une chose : je suis gay.
– Tu veux dire que tu es gai, tu es joyeux, tu rigoles… ?
– Oui aussi, mais je veux dire que je suis homo, mais comme je suis également hétéro, je suis bisexuel, même si je ne suis pas vraiment pratiquant. D’ailleurs, à priori, tout le monde est bisexuel, à part ceux qui refoulent leur homosexualité. Donc j’ai le droit de faire des blagues sur les pédés.
– N’empêche, qu’il ne faut pas dire pédé.
– Pourquoi, ce n’est pas bien d’être pédé ?
– Euh, disons que je n’ai rien contre…
– Tu préfères que je dise tante ? Alors j’ai une autre blague : si ma tante en avait, on l’appellerait mon oncle, et si mon oncle en était, on l’appellerait ma tante…
– T’es con.
– Je veux simplement dire que le jour où le mot pédé ne sera plus une insulte, alors, ce jour-là, enfin, l’homosexualité sera devenue tout à fait normale. J’ajouterai même que toi, tu participes à considérer l’homosexualité comme insultante : si je te traites d’hétéro, tu ne t’en offusques pas… N’ayons pas peur des mots ni des homos. Comme nombre des autres animaux, homo sapiens est homo autant qu’hétéro.


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Définitions des mots croisés N° 20:

1/ «Le Doulos», «Le cercle rouge» ou, mais ce n’est pas le même, la lutte féroce entre un capitaine et un cachalot—Sur un bateau, c’est la proue 2/ Absorbe une grande part du CO2 émis au prix d’une acidification croissante et de dommages sans doute irréversibles—Armé de fer, mettait en perce les galères antiques 3/ Il y a un point commun entre I. Huppert et une petite chauve souris (Lasiurus boréalis), si, si!—Le Mistral le fait très bien pour les flammes, Trump, plutôt pour la haine et la discorde 4/ Un des 6 quarks—Fend la mer—Causa du tort 5/ 80% de la masse corporelle d’un fœtus—Satellite de Jupiter—Vivant, il n’est pas forcément humain mais aussi, animal ou végétal—Numéro atomique égal 112 6/ Nos lointains ancêtres aimaient à en décorer les parois—Avoir conjugué—le «nid de pie» se trouve au sommet du plus haut, 7/ Pronom démonstratif—En mettre pour ne pas gripper—Habitat s’organisant autour d’un patio central 8/ Cité japonaise dont les symboles sont l’azalée et la Bouscarle chanteuse—De sa fourrure, les dames de la haute, se firent un couvre-chef 9/ Prédateur, masque, gros défaut—Au Hellfest ce genre musical est roi—(sigle) Mesure l’activité du cerveau 10/ Relié au lac Ontario par les chutes du Niagara—Blanche, signe une éducation tout en pudibonderie 11/ L’on y met le feu—Signe de noblesse au Royaume-Uni—Pionnier blanc d’Afrique du Sud 12/ (sigle) L’occasion pour les actionnaires, sociétaires ou adhérents d’interpeller ses dirigeants—Du bon maniement de ces cordages dépend la vitesse d’un voilier—Passé de vie à trépas 13/ Fut le bourreau de la «Royale» – Plus connue pour son jambon que pour son prêtre Ours! A/ Femme facile appréciée également (ou haïe) pour son foie—Sèche, le navire est au sec—687 jours… sur Mars B/ Permet de se maintenir à flot—Violent, il provoque des crues dévastatrices C/ Unité monétaire de la Roumanie—Cité d’origine d’Abraham, selon la Bible—Porte conseil dit-on D Clos, c’est se fermer au monde extérieur—Interjection—B. Franklin, T. Jefferson ou G. Washington le furent pour la constitution américaine E/ Regroupement en 1795 de l’Académie française, des sciences, des beaux arts, etc—Ne donna pas son nom à la rose F/ Rend l’amour délicieusement désirable, non!?—Pronom G/ Article —Siège quand elle est choisie—Connu H/ S’échoue sur une grève, échoue dans une casse mais parfois aussi… dans un caniveau—Juste sous, les bonnes logeaient I/ Taille les arbres par le haut—Une élue sur cinq à ce poste est une femme: le chemin de la parité est encore long! J/ Qualifie un ouvrage de grande dimension—50% de la population française l’était en 1930, 23% aujourd’hui—Pronom K/ Le vent, ça la gonfle—Iridium L/ Baie peu profonde—Naviguent sur les flots M/ Groupe de navires de guerre—3ème personne du singulier du passé simple du verbe avoir N/ Les gabares l’ont plutôt faible—Cette brebis évoquée par la bible, ne l’est peut-être pas tant que ça: peut-être ne veut-elle pas revenir au troupeau et suivre son propre chemin!?

Solution sur notre site à partir de la fin décembre